149 places supplémentaires, 417 de plus pour 2017, cette relève supplémentaire et importante du numerus clausus par le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé est une nouvelle dont se sont réjouis aussi bien les départements victimes de la désertification médicale que les étudiants prêts à s'engager dans un cursus aussi difficile que long.
Mais bien que cette hausse laisse place à des chances supplémentaires de gagner son ticket pour passer l'épreuve de la PACES, oublier que seuls 15% des étudiants réussissent à la franchir chaque année serait une aussi lourde erreur que de ne pas s'y préparer.
Un numerus clausus relevé mais pas remis en cause
Fixé chaque année par le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, le numerus clausus de médecine répond à plusieurs besoins :
A l'annonce des places supplémentaires pour 2017, l'Ordre des Médecins comme l'ANEMF (Association nationale des étudiants en médecine de France) se sont inquiétés de la capacité des établissements universitaires à garantir un accompagnement de qualité aux étudiants autant que de la capacité des collectivités locales à fournir les conditions de travail propres à attirer de jeunes médecins dans les départements touchés par la désertification.
Un numerus clausus relevé, certes, mais une première année de sélection dont le niveau de difficulté ne sera pas lui revu à la baisse.
PACES, quand la motivation seule n'est pas une clé de succès
Composée de deux semestres à l'issue desquels les étudiants sont évalués par une série de QCM, la PACES, ou Première année commune regroupant les études de médecine, odontologie, pharmacie et maïeutique, couvre 8 unités d'étude qui vont assurer aux étudiants un premier socle de connaissances théoriques.
Véritable entonnoir, le programme de la PACES est en totale rupture avec les méthodes d'enseignement du lycée et avec seulement 15% d'étudiants admis en 2ème année à l'issue de la deuxième session d'examens, il n'est pas exagéré de dire que de nombreux étudiants, malgré leur motivation, sont littéralement broyés par le rythme soutenu des cours et des révisions.
De fait et même s'il est possible de redoubler la PACES, nombreux sont les étudiants qui recherchent via une année de prépa à médecine à se doter des meilleurs atouts pour passer ce premier cap autant que pour tenir la distance sur un parcours de 9 années d'études a minima.
Antemed, pionnier de la classe préparatoire dès la terminale
Sur le modèle des classes préparatoires aux grandes écoles de commerce et d'ingénieurs, des professionnels de la formation, privés ou publics, se sont positionnés sur le créneau des études de médecine en proposant une année intermédiaire post bac.
Pionnier en matière de classe préparatoire dès la terminale, Antemed a établi un programme d'apprentissage novateur qui permet aux étudiants d'assurer leur réussite au baccalauréat tout en faisant l'acquisition des connaissances et techniques pour passer le plus sereinement possible le cap de la PACES.
132 heures de cours réparties tout au long de l'année scolaire et des vacances pour faciliter l'acquisition de connaissances de matières communes à la Terminale et à la PACES telles que chimie, biochimie, biologie, physique et biophysique tout en assurant l'acquisition de techniques de mémorisation et d'apprentissage qui seront utiles tout au long du parcours d'études.
Aujourd'hui et avec les résultats probants de 4 promotions d'étudiants - 100% de réussite au baccalauréat, 70% de mention au baccalauréat, 59% de candidats primants et classés à l'issue de la PACES - Antemed se présente comme le meilleur atout des étudiants aspirant à réussir leur parcours de médecine.
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