En partenariat avec l'Université Paris-Dauphine, l'Association Robert Mazars a organisé pour la deuxième année consécutive le Prix Bernheim Mazars auprès des étudiants de six masters dauphinois (Audit, Banque-Finance, CCA, Contrôle de Gestion, Business Consulting, Fiscalité). Un jury mixte composé à la fois de professeurs de Dauphine et de collaborateurs Mazars a récompensé, le 15 novembre dernier, les quatre meilleurs travaux de recherche conduits dans les domaines de l'audit financier, du contrôle de gestion, du business consulting et de la fiscalité. Trente étudiants ont concouru pour le Prix Bernheim Mazars. Ce prix rend hommage à Yves Bernheim, associé de Mazars décédé en 2002.
« Nous sommes très heureux que cette année encore, quatre de nos étudiants aient remporté le défi du Prix Bernheim Mazars pour leurs travaux de recherche. Ce prix est une réelle opportunité pour eux et vient témoigner de la reconnaissance mutuelle établie au fil des temps entre Dauphine et Mazars », déclare Laurent Batsch, Président de l'Université Paris-Dauphine.
« C'est un plaisir de récompenser pour la deuxième fois des travaux de grande qualité démontrant la capacité des étudiants à mener un véritable travail de recherche ou à présenter des études fouillées menées à l'occasion de leur stage en entreprise » déclare Danièle Batude, présidente du jury et associée de Mazars.
Les étudiants primés sont :
- 1er prix : Elodie BAZZONI (Master Contrôle de Gestion) pour son mémoire sur « Quel(s) contrôleur(s) de gestion pour l'édition ? »
- 2ème prix: Julie PADOVANI (Master Business Consulting) pour son mémoire sur « Study of the impact of the collaborative tools in the consultant-clients relationship ».
- 3ème prix : Mélanie LALLEMENT (Master Audit Financier) pour son mémoire sur « Dépréciation du Goodwill et valeur boursière de l'entreprise : Les dirigeants sont-ils une variable déterminante ? »
- 4ème prix : Daniel GOLDENBAUM (Master Fiscalité) pour son mémoire sur « Le clair-obscur de la détermination des prix de transfert ».
« L'initiative du Prix Bernheim est une bonne chose car aujourd'hui, je pense qu'il est primordial que les universités comme Dauphine travaillent main dans la main avec les entreprises puisqu'elles ont vocation à former de futurs managers », nous explique Elodie Bazzoni, lauréate du Prix Bernheim 2012.
Pour Daniel Goldenbaum, 4ème prix de cette édition 2012, « C'est un plus que de gagner un prix. Aujourd'hui en France ce n'est pas encore très répandu mais dès lors que vous faites une demande d'inscription dans une université anglo-saxonne, on vous demande de préciser si vous avez gagné un prix. Ce prix me servira donc peut-être si je me décide à poursuivre mes études à l'étranger. »
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