Passage dans la vie adulte : des solutions numériques pour s'autonomiser

La transition de l'adolescence à l'âge adulte est un moment délicat, qui peut être synonyme de stress, voire de détresse psychologique. Heureusement, de nombreux dispositifs existent pour accompagner les jeunes qui rencontrent des difficultés matérielles ou personnelles. Pour s'autonomiser, les étudiants et jeunes actifs peuvent aussi se tourner vers les banques, opérateurs mobile et assureurs 100% en ligne qui leur proposent des offres dédiées, à l'image de l'assurance scolaire du néo-assureur FRIDAY ou de celle de la MAE.

Premiers flirts, et premiers chagrins d'amour. Premier appartement à soi. Premier job. Premiers voyages en solo ou entre amis. Aussi redouté qu'espéré, le passage de l'enfance à l'âge adulte est synonyme de nouvelles opportunités, mais aussi d'inédites responsabilités. Une période de défis et d'autonomisation qui peut, de nos jours, s'étendre sur de longues années, les étudiants ayant tendance à rester plus ou moins dépendants de leurs parents jusqu'à un âge relativement avancé. Si la plupart des jeunes négocient ce délicat virage sans incident majeur, ce moment de transition peut, pour d'autres, représenter une source d'anxiété, voire de réelles difficultés qui peuvent, elles-mêmes, affecter négativement leur santé mentale.

Souffrance psychologique : de l'importance de se faire accompagner

Plusieurs écueils peuvent ainsi se présenter sur le chemin vers l'autonomie : surprotection de la part de parents inquiets, tentations liées à l'alcool, aux drogues ou aux fêtes étudiantes, mauvaises fréquentations, décrochage universitaire, désorganisation chronique, incapacité à faire face à certaines responsabilités, etc. Autant d'épreuves face auxquelles les jeunes ne sont pas égaux - et, heureusement, pas seuls. Un certain nombre de dispositifs existent en effet pour aider les adolescents et jeunes adultes à exprimer leurs difficultés et à parler de leur éventuel mal-être : services médicaux universitaires, lignes d'écoute téléphoniques (Drogues info service, Suicide Ecoute, etc.), Points d'accueil écoute jeunes (PAEJ), Maisons des adolescents (MDA), Bureau d'aide psychologique universitaire (BAPU), Services universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPPS), etc.

L'important, quelle que soit la difficulté rencontrée, est de ne pas rester seul. Si la famille, les amis et les proches peuvent représenter une première aide précieuse, il ne faut pas avoir peur, lorsque l'on traverse une période de dépression, d'angoisse ou de souffrance psychologique, de s'adresser à un professionnel, comme un psychologue. Un pas salutaire, que de nombreux jeunes n'osent cependant pas franchir, par peur du « qu'en dira-t-on » ou encore parce qu'ils pensent ne pas en avoir les moyens financiers. Or les séances avec un psychologue peuvent être, en partie, prises en charge par l'Assurance Maladie, grâce au dispositif « MonParcoursPsy », ou encore par certaines assurances scolaires qui, à l'image du néo-assureur FRIDAY, remboursent les consultations à la suite d'un accident ou en cas de harcèlement. Et si ces déboires interfèrent avec les résultats scolaires de l'étudiant, l'assureur lui propose également de bénéficier d'un service de coaching, pour éviter tout décrochage, et lui remettre le pied à l'étrier.

Du forfait mobile à la banque, en passant par l'assurance scolaire : un éventail d'options spécialement pensées pour les jeunes et les étudiants

Le passage à l'âge adulte est donc loin d'être un fleuve tranquille, ce qui explique que de nombreux jeunes continuent de compter sur leurs parents pour les accompagner dans cette transition et les aider à payer certaines charges. Les étudiants et jeunes adultes peuvent ainsi bénéficier d'un forfait mobile familial, qui permet aux parents d'équiper leurs enfants sans se ruiner : la plupart des opérateurs, y compris low-cost, proposent ce genre de formules. Les étudiants peuvent également, sous certaines conditions (être âgés de moins de 26 ans s'ils poursuivent des études ou de moins de 21 ans s'ils sont à la recherche d'un emploi), être rattachés à la mutuelle santé de leurs parents.

Mais les plus débrouillards ou autonomes peuvent tout de même prendre leur envol, s'ils le souhaitent. Dans ce cas de figure aussi, tout un éventail d'options s'offrent à cette génération connectée, qui a parfaitement intégré le réflexe de tout gérer depuis un smartphone. De nombreux opérateurs téléphoniques proposent ainsi des offres à prix cassé (à partir de 5 euros/mois), auxquelles il est possible de souscrire entièrement en ligne. Désireuses de fidéliser les jeunes actifs, les banques en ligne ciblent aussi tout particulièrement ce type de clientèle, les jeunes appréciant, aujourd'hui, de gérer leurs comptes et opérations bancaires d'un seul clic.

Enfin, les jeunes actifs et les étudiants qui souhaitent s'affranchir de la tutelle parentale peuvent se tourner vers des assureurs proposant des offres dédiées à leur situation. La Mutuelle assurance de l'éducation (MAE), offre ainsi une assurance étudiant complémentaire qui prend en charge certains frais de santé non couverts par l'Assurance Maladie et la mutuelle. Avec son option « assurance scolaire étudiant », l'assureur 100% en ligne FRIDAY propose, quant à lui, de joindre l'assurance scolaire - facultative - à l'assurance habitation - obligatoire, elle -, et ce pour seulement 2 euros de plus par mois : un bon plan pour celles et ceux qui veulent couvrir un large spectre d'activités (même en vacances), sans dépasser leur budget.