Chers (es) amis (es), enfants terribles du Rock, et Blues girls en devenir,
Dans la vie, on écoute du son, on regarde des guitares s’agiter, des chants caresser nos tympans blasés. Et pourtant revient toujours cette émotion qui dépasse tout. Cela s’appelle l’évidence même! Le talent s’efface au profit de cette sensation qui n’a pas de nom, qui vous fige et vous fait ressentir l’éclat et le délire génial d’un truc qu’on appelait le Rock!
LeSpark est un prodigieux météore de rock et de sensualité. Non, nous n’avons pas affaire à un groupe qui recopie maladroitement les trépidations de l’asphalte New-Yorkais. Non, ce n’est pas un énième band qui pousse un cri vers London Calling et autres talents du bord de la Tamise. LeSpark ne ressemble qu’à lui même, il n’enfante que son propre son; une rythmique fauve et éblouissante, un riff de guitare limpide, un roulement de batterie qui élève votre coeur au panthéon du rock (Antoine Chêne); Une basse (Julia Jerosme) qui surgit à pas de loup, puis accélère et cadence furieusement pour vous étreindre majestueusement!
Il est des moments où la stupéfaction devant l’énergie déployée vaut tous les applaudissements, où le silence du public devant la transe sensuelle du chanteur (Thomas Baignères) et la fougue démesurée du guitariste (Victor Le Dauphin) valent tous les compliments. La salle hoche lentement la tête. Un cri déchire la nuit rouge, les projecteurs peinent à suivre le vertige musical. On se prend à rêver d’avoir sa petite amie sur les épaules, de porter une chemise en jean qui colle au coeur et de savoir secrètement qu’un instant unique se produit.
Le talent porte enfin un visage, la musique a une âme, la jeunesse montre encore la voie de la révolution. Nous sommes à Paris en 2013 et OUI, le rock est plus que vivant : il est agité, frénétique, remuant et porte un nom qu’on lira sur toutes les lèvres après les avoir entendus : LeSpark
Toute la musique que j'aime ... Découvrez les nouveautés qui seront bientôt dans les bacs sur capcampus.