+&+ : deuxième album de DJEMDI

Sortie le 21 juin 2008

Publié le 02 juin 2008

  • 1. Avez-vous déjà entendu parler de Human Electro ?
  • 2. Avez-vous déjà entendu les PINK FLOYD repris par le tryptique didgeridoo/basse/djembe ?
  • 3. Avez-vous déjà entendu de l’électro mélangée à des musiques « primitives » ?

Si vous avez répondu « non » à au moins une de ces 3 questions, venez découvrir +&+, le nouvel album de DJEMDI et offrez-vous un voyage auditif aux frontières des musiques tribales, de l’électro et de la world musique version new generation.

Nouvel Album :

Jeux de caractères pour le deuxième album de DJEMDI


Avec un titre qui s’écrit sous la forme d’un jeux de caractères : Les Grenoblois de DJEMDI nous dévoilent un deuxième album fort en caractère. Tour d’horizon de ce projet atypique qui porte l’empreinte Human electro sur base de tryptique didgeridoo/basse/djembe.
Dès le premier titre, un rythme et une ambiance s’installent.


Deuxième titre, les instruments entrent en scène. L’énergie du groupe est intacte, mettez vos ceintures, le boulet de canon vient d’être tiré ! DJEMDI va vous faire voler aux dessus des frontières des musiques tribales et de la world new generation.
C'est un album soigné et abouti, comme en témoigne cette pochette dont le design est un remake du bon vieux vinyl 33T.
Dessus, 10 titres multicolores qui oscillent entre des battle instrumentaux et un patchwork culturel. Un métissage qui dévoile les multiples influences musicales et les personnalités des membres du groupe. Tout y est : le fil continu du didgeridoo, une pointe d’électro, le rythme fou du djembe et le groove de la basse. DJEMDI n’a pas perdu dans cet enregistrement l’aura qui a incendié leurs concerts. De l’Afrique à l’Océanie en passant par les musiques actuelles ou le chant soufi, DJEMDI pulvérise les barrières des genres et signe un deuxième album empreint de liberté et de caractère.


Après un premier opus puissant et énigmatique :1 1 1 1=1, puis une tournée sur les scènes world/électro, le groupe investit une période de développement intensif centré sur son indépendance, son originalité artistique et une autonomie financière.
Petit à petit, le milieu électro découvre le message de ce groupe qui détourne les musiques « primitives » dans un virage à 180° en direction des musiques électroniques. La fusion réussit, et DJEMDI se lance dans un nouveau projet, ce nouvel opus qui sortira avec un nouveau son et des invités plein les sillons.


Chaque morceau porte le nom d’une couleur, comme autant de karmas ou de voyages initiatiques. Dans ce parcours en 10 titres, les musiciens s’offrent une petite récréation avec la reprise planante et boostée de Echoes des PINK FLOYD.
Alors que la distribution physique de disques s’effondre, DJEMDI concentre son énergie sur le développement dématérialisé de la musique et les ventes par Internet. L’album sera en téléchargement en exclusivité sur les principales plateformes avant sa sortie nationale chez Mosaïc. Cet album a été entièrement porté par les musiciens qui se sont structurés comme un véritable Label, limitant ainsi les intermédiaires du circuit du disque. Cette démarche vise avant tout les fans de DJEMDI, qui trouveront l’album dans les bacs à moins de 13€. Preuve qu’avec un peu de volonté et une dose d’organisation, il est encore possible aujourd’hui de faire un disque de qualité à prix minima.


Le 31 juillet, le groupe sera présent au Cabaret Frappé (Grenoble) pour un concert aux couleurs de ce nouvel album, puis sera en tournée promo en France et en Tunisie.
Attention ! Après l’écoute de cet nouvel album gardez votre ceinture jusqu’à l’extinction du signal lumineux.


La descente sera peut-être difficile !
DJEMDI : C’est pas des machines mais des vrais gens…

  • Flop’s (Florent Diara) : percussions, kick…
  • Lorange (Christophe Planque) : percussions
  • Batman (Baptiste Vallet) : didgeridoo, basse
  • Kéké (Christophe Muin) : didgeridoo, samples, visuel scène
  • Ivan Olivier : son façade
  • Brain (Fred Monestier) : son studio

DJEMDI : des origines aux bacs ...

  • Démarrage en 2003 à Grenoble. Le groupe s’affirme immédiatement sur les scènes électro et world.
  • 2004 : Un premier album 1 1 1 1=1 autoproduit et enregistré en une journée. Il sera vendu à plus de 3000 exemplaires en ventes directes et chez Mosaïc
  • Sur scènes avec : Sinsemila, Brain Damage, Shri, Akamassa, Siméo, Mon Côté Punk, Lutin Bleu, Espoir de Corentie, Orange Blossom, Max Roméo, Gnawa Diffusion, Ceux qui Marchent Debout, Lee Scratch Perry
  • Discographie : 1 1 1 1=1 (Djemdi/KNT – Mosaïc), Tribal Drum Conspiration (compilation Follow Me), Pas Vu à la Télé 1 (compilation Echo Productions), Cuvée Grenoblois 2007 (compilation Dynamusique).


Biographie

Biographie :
Depuis 2003, Djemdi propose une exploration sonore aux sons profonds et envoûtants.

C’est la rencontre de deux continents, l’Afrique et l’Océanie, par les instruments qui les représentent, le djembé et le didgeridoo.

Dans une ambiance mystique, aux frontières de la transe, le jeu des musiciens nous emporte dans une approche particulièrement vivante de la musique : avec une attention permanente à l’appel des autres instruments, chaque morceau suit une liberté d’expérimentation totale. Sous des rythmes d’une intensité émotionnelle forte, chaque concert se veut différent selon l’inspiration de l’instant. Il suffit alors de fermer les yeux et de ne plus penser à rien pour aller jusqu’au bout du voyage.

Purement instrumental, chaque morceau porte le nom d’une couleur, comme autant d’étapes initiatiques. Pourpre, Carmin, Indigo, chacune symbolise une ambiance propice au voyage auditif et culturel. On ne revient pas indemne d’une telle odyssée et la redescente sur terre est parfois difficile.

Avec la sortie d’un nouvel album en 2008, Djemdi confirme son originalité et laisse augurer de nouvelles rencontres scéniques multicolores.

Attention, certaines vibrations sont contagieuses et peuvent créer un effet d’accoutumance…