Son premier album, «Ever Everest», aux chansons mélodieuses et intemporelles, sensibles, denses et légères, a séduit à la fois le public et les critiques unanimes.
« Il possède ce don de fondre la fantaisie et la mélancolie, le quotidien et les fantasmes » (Yves Jaegle, Le Parisien).
« On se laisse happer sans résistance » (Valérie Lehoux / Télérama).
Fabien Martin a même été remarqué par Francis Cabrel et a assuré sa première partie lors de sa dernière tournée.
Après le succès de son dernier concert parisien, plein à craquer, au Café de la Danse en mars, Fabien Martin revient à la rentrée, à la Cigale le 26 octobre. Les étudiants peuvent bénéficier d’un tarif préférentiel, soit 13 euros la place (au lieu de 19,80).
Pour en bénéficier, il suffit d'envoyer son règlement par chèque avant le 15 juillet à W2 Productions, 25 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris (pour tout renseignement : Fabrice Prouff au 01 47 70 33 69). Les places seront envoyées par retour, et ne seront pas numérotées.
Fabien Martin sera notamment en concert à la Sorbonne le 23 mai avec d'autres artistes et sera au Festival Les Francofolies de la Rochelle le 13 juillet.
Une occasion de découvrir cet artiste en concert, où il prend toute sa mesure. Mais en attendant, Fabien Martin a accepté de répondre à quelques questions, pour Capcampus :
CC : Fabien Martin, quelle est ton histoire, en quelques mots... ?
FM : Quelques mots alors : Piano, ennui à l’école, 4-pistes dans ma chambre, fantaisie et mélancolie sur mon lit, cahier et dictionnaire de rimes, Théatre du Tourtour, Amour, Rencontres et Hasard, et voilà l’album « Ever Everest ».
CC : Quand est née ta vocation de musicien ?
FM : Vers 13 ans en écoutant « kind of blue » de Miles Davis, et tous les pianistes de jazz à qui je voulais ressembler.
CC : Quelles sont tes influences musicales ?
FM : J’aime toutes les musiques, je suis polygamme. La chanson, la musique américaine, le tango. Ferré, Tom Waits, Piazzolla.
CC : Quel est ton meilleur souvenir sur scène ?
FM : Un soir au Zèbre de Belleville, c’était la première fois que des gens qui n’étaient pas des amis, chantaient les chansons par cœur. Sans le livret.
CC : Les critiques sont unanimes, tu es l’artiste qui monte. Comment vis-tu ce succès croissant ?
FM : Je crois que j’ai la grosse tête ;-)
CC : Quels sont tes projets ?
FM : M’améliorer à la guitare, faire des concerts encore et encore, et continuer à mettre des mots sur des notes. J’ai les notes, mais pas encore les mots .
