L'Institut Supérieur du Management Public et Politique (ISMaPP) a été salué comme « pionnier » lors de la signature du protocole d'élargissement de la Banque d'épreuves littéraires (BEL), vendredi 17 septembre dernier au Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, réunion présidée par Valérie Pécresse, en présence de Patrick Hetzel, directeur général de l'Enseignement supérieur et notamment des directeurs de 4 IEP, de HEC, de l'ESSEC et bien sûr de Monique Canto-Sperber et Olivier Farron, respectivement directeurs de l'Ecole Normale de la Rue d'Ulm à Paris et de l'Ecole Normale de Lyon.
L'ISMaPP fut en effet le premier établissement à avoir rejoint les Ecoles Normales Supérieures de l'Ulm et Lyon, dès 2009, dans la création de la BEL, afin d'élargir le champs des filières pour les étudiants de « classes préparatoires littéraires (CPGE), suivi de l'Ecole des Chartes en 2010.
De gauche à droite : Monique Canto-Sperber (directrice de l'ENS Ulm), Olivier Farron (directeur de l'ENS Lyon), Claude Boichot, inspecteur général de l'Education Nationale, Hervé Poulet, chef d'établissement de l'ISMaPP et Patrick Hetzel, directeur général de l'enseignement supérieur
Lors de son intervention, Hervé Poulet a souhaité partager le label de « pionnier » en remerciant les directions des deux Ecoles Normales Supérieures et leurs collaborateurs, ainsi queL'ISMaPP : pionnier de la Banque d'Epreuves Littéraires (BEL) le véritable fédérateur de cette démarche, Monsieur Claude Boichot, Inspecteur général de l'Education Nationale, et bien entendu Madame la Ministre, qui a su l'impulser. Par ailleurs Hervé Poulet a rappellé « que la qualité de la formation CPGE transmise aux étudiants constitue dans le cursus d'études en Management public un véritable atout ». A l'heure de la Réforme de l'Etat, de la LOLF et de la RGPP, les profils littéraires intéressés par les carrières publiques liées à l'intérêt général sont à même de trouver là des débouchés de très bon niveau.Véritable succès avec plus d'une centaine de candidats chaque année, les élèves managers publics issus des CPGE constituent désormais un ratio important des classes de 1ère et 2ème année du Cycle Grande école en Management public, tout en conservant une part importante d'étudiants d'origine universitaire.
« J'ai pu mettre à profit mes capacités de rédaction et de synthèse, l'un des principaux apports d'une prépa khâgne », déclare David, entré en 2009 via la BEL et maintenant en 2ème année (M1), « Les études en management public m'ont permis de concrétiser les ponts qui existaient entre ma formation initiale et les besoins du monde professionnel ».
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